J1 – La journée en bref
« […] les douanes doivent être prêtes au mieux pour faire face aux différentes catastrophes. » a cité le Directeur de Facilitation du contrôle au sein de l’OMD. La maîtrise de la situation sur le terrain est une étape primordiale dans la recherche de solutions pour faciliter l’accessibilité aux biens de secours. Ainsi, la communauté humanitaire internationale a cité quelques défis et difficultés rencontrés en matière de dédouanement des envois de bien de secours, plus particulièrement :
- les coûts de dédouanement trop élevés
- les délais de franchise trop lents
- la difficulté de l’obtention de franchises
- le délai de l’approbation du MIDAC
- le manque d’effectif au sein de la Douane
En contrepartie, la Direction Générale des Douanes de Madagascar a mis en exergue le cadre légal et les procédures pour la libération immédiate des biens de secours. Une étape ayant permis (1) de connaître les balises en terme de réception des colis humanitaires à Madagascar, et (2) d’analyser les goulots d’étranglement présents dans les procédures en vigueur. La séance a été clôturée par la présentation d’un contenu du guide qui sera utilisé lors des prochains ateliers en groupe, déjà adapté par plusieurs pays, dont la Guinée, ayant partagé son expérience.
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Défis et difficultés Points de vue de la Douane
Envois de secours
Procédure de dédouanement